"Si tu peux être fort sans être violent, tu seras un homme, mon fils" (Oxmo Puccino) HD

30.05.2018
Abonnez-vous à notre chaîne sur YouTube : http://f24.my/youtube En DIRECT - Suivez FRANCE 24 ici : http://f24.my/YTliveFR A la une de la presse, ce mercredi 30 mai, l’attaque mortelle d’hier à Liège, en Belgique, par un détenu en permission de sortie, signalé pour «radicalisation». Les tensions entre l’UE et l’Italie. La tenue de super-héroïne de Serena Williams. Et une campagne contre le machisme. Le + : Recevez tous les matins la Revue de presse de France 24 sur votre iPhone ou sur tout autre mobile. Et également toujours sur votre PC en devenant fan sur Facebook… A la Une de la presse, les réactions, en Belgique, à l’attaque de Liège, où quatre personnes, dont l’assaillant, ont été tuées, hier. L’auteur de cette attaque, incarcéré depuis 2003, a profité d’une permission de deux jours pour tuer deux policières et un étudiant. Un «périple meurtrier» à la une du Soir, qui précise que Benjamin Herman avait déjà bénéficié de plusieurs autres autorisations de sortie qui s’étaient bien déroulées. D’après le journal, cet homme de 36 ans figurait sans plusieurs dossiers pour radicalisation. «Pour l’instant, l’heure est au chagrin et à la douleur partagée», mais dans les jours qui viennent, prévient Le Soir, «aucun débat ne (devra) être mis de côté» - y compris «celui de la radicalisation islamique en prison, dont (beaucoup) disent qu’elle est difficile à détecter, qu’elle naît souvent des circonstances de la détention mais surtout, qu’elle serait combattue avec des moyens insuffisants». «Les prisons belges ne peuvent plus être des nids à djihadistes», s’indigne La Libre Belgique. D’après le quotidien, l’auteur de l’attaque pourrait s’être radicalisé en 2017, lors de de son passage à la prison de Lantin, à quelques kilomètres au nord de Liège. En France, Emmanuel Macron se dit favorable à la divulgation d’informations sur les personnes fichées «S», pour radicalisation. Cette «vieille demande de la droite et du Front national» aurait fait «son chemin» à l’Elysée, selon Libération, qui précise que le président souhaite que les préfets puissent «échanger» leurs informations avec les maires, en particulier sur la présence dans leurs communes de personnes inscrites sur le listing qui recense les personnes radicalisées susceptibles d’être dangereuses. Mais le problème, comme le relèvent les dessins de Simon Bally, c’est que les élus locaux ne présentent pas les garanties exigées pour les policiers – puisqu’ils ne sont soumis à aucune enquête de moralité ni tenus au secret professionnel, ce qui risque d’entraver les enquêtes, et occasionner des dérives, comme la manipulation de ces informations à des fins politiques. En Italie, la crise politique se répercute désormais sur les marchés. Et la chute des marchés italiens touche à présent les banques européennes et américaines, d’après The Financial Times – qui cite la mise en garde, hier, du gouverneur de la Banque d’Italie, sur la possible «perte de confiance» des investisseurs face au programme des pop

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