Mark Zuckerberg: "opération contrition" HD

23.05.2018
Abonnez-vous à notre chaîne sur YouTube : http://f24.my/youtube En DIRECT - Suivez FRANCE 24 ici : http://f24.my/YTliveFR A la une de la presse, ce mercredi 23 mai, l’audition du patron de Facebook par le Parlement européen, son rendez-vous aujourd’hui à Paris avec Emmanuel Macron. La politique des banlieues présentée hier par le président français. Et un fils traîné devant les tribunaux par ses parents. Le + : Recevez tous les matins la Revue de presse de France 24 sur votre iPhone ou sur tout autre mobile. Et également toujours sur votre PC en devenant fan sur Facebook… A la Une de la presse, l’audition, hier, de Mark Zuckerberg, par le Parlement européen. Un mois après son audition par le Congrès américain, le patron de Facebook «poursuit sa tournée d’excuses en Europe», titre The Financial Times, qui rapporte que «le passage sur le grill» de Mark Zuckerberg, interrogé sur le scandale Cambridge Analytica et sur la compatibilité de Facebook avec les nouvelles règles européennes sur la protection de la vie privée, a laissé les eurodéputés «sur leur faim». D’après le quotidien britannique, le patron du réseau social n’aurait pas fourni aux parlementaires européens les réponses qu’ils attendaient. Mark Zuckerberg à Bruxelles, quelques excuses, et puis c’est tout - à voir aussi avec le dessin d’Oppenheimer, repéré par Courrier International, qui le montre adressant non pas un mais deux doigts d’honneur made in Facebook, aux eurodéputés. Mark Zuckerberg rencontre aujourd’hui à Paris Emmanuel Macron, en compagnie d’autres chefs d’entreprise technologiques. Libération annonce une «opération contrition à l’Elysée», qui a baptisé cette rencontre «Tech for good», «la technologie pour le bien». Un rendez-vous auquel assistent aussi le patron d’Uber, celle d’IBM et le PDG de Palantir, une entreprise de «big data» qui travaille notamment pour le renseignement américain, à la réputation controversée. L’entourage du président promet des discussions «assez rudes». Mais les géants américains du Web sont-ils vraiment les meilleurs interlocuteurs pour parler de l’intérêt général et du bien commun? Question du fondateur de la start-up française HelloAsso, spécialisé dans le financement participatif des associations. Dans une tribune publié par Libération, Ismaël Le Mouël, déclare que «oui, les géants du Web ont sans doute un rôle à jouer dans le développement d’une technologie au service du bien commun et dans la protection des données, (que) oui, il est absolument nécessaire de les entendre sur ces sujets», mais qu’il ne faudrait pas se «méprendre» sur ces entreprises, qui «portent une vision de l’innovation» n’ayant «rien à voir avec l’intérêt général, mais davantage avec la génération d’intérêts pour leurs investisseurs» - ce qu’il appelle le «good for me», ce qui est «bon pour moi». Hier, Emmanuel Macron a présenté, à l’Elysée, ce qu’il estime être «bon» pour les quartiers populaires, sa politique pour les banlieues. Le président a déclaré vouloir rom

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